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Les restrictions du paiement en espèces

Les possibilités de paiement se diversifient actuellement. Partant du simple virement, passant par la carte bancaire et les payements par chèque, et enfin, le plus utilisé reste le paiement en espèces ou en liquide. Néanmoins, cette facilité courante est restreinte par des plafonnages stricts. Ainsi, il convient de respecter ces limites, au risque de sanctions.

Que faut-il savoir sur le paiement en liquide ?

Bien que beaucoup optent pour ce type de paiement, certaines personnes estiment que tout peut être approuvé. Que faut-il faire et ne pas faire lorsque l’on tient à payer en espèces ? Pour commencer, il faut savoir qu’il existe autant de pays qui ne plafonnent pas les paiements liquides. En Allemagne, en Islande, en Lettonie, en Slovénie, en Autriche, à Malte ou encore à Chypre, cette monnaie à court légal s’utilise sans nulle limite.

Contrairement à cela, il existe des pays, telle la France, qui n’admet pas les espèces, selon certaines conditions. Cette limite a été imposée dans le but d’anticiper les fraudes fiscales, souligne Le Magazine de la Finance. Cependant, le remboursement de dettes en euros ne peut être refusé, hormis des situations particulières.

Les limites à prendre en compte

La réglementation est exigeante, concernant les paiements en espèces. Principalement, cela concerne le montant autorisé. Ce plafonnage, en outre, peut changer selon les éventualités.

Entre de simples particuliers, les transactions sont illimitées. Seulement, il est conseillé d’opter pour le virement ou le chèque, lorsque l’on prévoit un montant au-delà des 1500 euros. Cela évitera les aléas, similaires aux litiges. Dans ce cas, le bordereau pourra servir de reconnaissance de dettes.